Le PDG de Ferrari surpris par le geste "puissant" de Lewis Hamilton
F1 News
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Benedetto Vigna, PDG de Ferrari, est l'un de ceux qui attendent avec impatience la très attendue titularisation de Lewis Hamilton chez Ferrari. Lors de la récente conférence de presse sur le sponsoring avec le nouveau partenaire UniCredit, l'Italien n'a pas tari d'éloges sur le septuple champion du monde de Formule 1. Vigna a notamment fait référence à un geste récent de Hamilton, qu'il a "adoré".
Hamilton félicité par le PDG de Ferrari
Lewis Hamilton s'apprête à faire sa première sortie au volant d'une ancienne F1 Ferrari plus tard cette semaine sur le circuit Ferrari de Fiorano. La "Lewis mania" a atteint son paroxysme, et de nombreux fans sont attendus dans les rues pour apercevoir la star au volant d'une Ferrari pour la première fois.
Les fans ne sont pas les seuls à se réjouir de son arrivée. Benedetto Vigna, le PDG de Ferrari, est prêt à voir Hamilton porter le célèbre rouge. "Il y a de l'excitation, une grande envie de commencer, d'affronter les tests", rapporte le média italien Corriere Della Sera.
"Le changement est toujours important et Hamilton s'est remis dans le bain. J'ai adoré lire son post sur LinkedIn au début de l'année, un message puissant pour ne pas perdre espoir dans tous les domaines."
Le post d'Hamilton sur LinkedIn explique qu'il faut accepter le changement. Il s'agit de son premier message officiel en tant que pilote Ferrari depuis le début de l'année. Selon Hamilton, 2025 sera une année où il faudra "embrasser de nouvelles opportunités, rester affamé et aller de l'avant avec détermination."
Hamilton n'a pas peur
Selon Vigna, le fait de ne pas avoir peur de ce changement entre sa zone de confort chez Mercedes et sa nouvelle équipe chez Ferrari donne un avantage à Hamilton. "Avec lui et Charles, nous allons nous amuser. Quelqu'un qui a gagné sept titres peut vraiment transmettre beaucoup de choses. Si je parle à Fred, il souligne sa capacité à donner des conseils techniques, mais pas seulement. Il a une grande envie de changement et il n'a pas peur. À quarante ans, il s'est remis en jeu, il a embrassé une culture différente à bien des points de vue par rapport à la culture anglo-saxonne."
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